dont la lueur est à peine saisissable;
dans leur stabilité, terre et ciel persistent indéfiniment,
mais le temps qui vole effleure le visage de l'homme et le change.
Ô toi qui sièges devant une coupe remplie et ne la bois pas,
Ô toi qui sièges devant une coupe remplie et ne la bois pas,
Dis-moi : qui donc attends-tu ? »