dont la lueur est à peine saisissable;
dans leur stabilité, terre et ciel persistent indéfiniment,
mais le temps qui vole effleure le visage de l'homme et le change.
Ô toi qui sièges devant une coupe remplie et ne la bois pas,
Ô toi qui sièges devant une coupe remplie et ne la bois pas,
Dis-moi : qui donc attends-tu ? »
Mais pk t'as supprimé tous les autres textes è_é
RépondreSupprimerParce que je ne voyais pas l'intérêt de les laisser là. Après tout, tu les as déjà alors de quouah te plains-tu ?
RépondreSupprimerEn plus la louise comme elle t'a copié *_*
RépondreSupprimerDe quoi tu parles toi ? J'ai copié personne. ô_o
RépondreSupprimer